Si t'aimes, Tu clics !


jeudi 12 septembre 2013

Adolfo VALENCIA

Aujourd'hui, un buteur Colombien. Pas vraiment de la trempe d'un Asprilla ou Falcao, il est néanmoins pas un handicapé du ballon rond. Surnommé le Train, certainement en référence à son amour des rails (ou sa vitesse, qui sait...??), il débute dans son championnat local, claque pas mal de pépins, et s'en va découvrir les charmes de l'Allemagne post mur de Berlin en 93'. Il plante 11 caramels, s'offre le titre de champion et va gagner sa vie à Madrid, du côté de l'Atletico de Jesus Gil y Gil. Seulement, il performe franchement moins, et l'inénarrable président madrilène s'en va de sa petite phrase qui scintille : "Il faut trancher la gorge du grand noir". Cette déclaration d'amour le renvoi illico au pays, puis il revient 2 ans après pour découvrir la série A à la Reggiana. Bilan pourri. Retour en Colombie. 2 ans après, rebelotte l'europe, au Paok. Et devinez quoi ? C'est de la merde. Un soupçon de MetroStars en 2000, un enième passage à Santa Fé, une lichette de Lucheng, un zeste de Venezuela et fin du bordel. Adolfo Valencia, parce que le train n'est jamais à l'heure.

Adolfo arbore la crète, 20 ans avant...
Un visionnaire.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire